Là, on a passé la troisième!
On commence à voir le bout du tunnel niveau traitement de la rouille.
Pour raisons personnelles, Nico a été à même de travailler presque tous les jours sur la Vedette, et forcément, ça aide.
Il faut préciser que nous devons décaper entièrement la carrosserie, jusqu'au métal.
En effet, en plus de pouvoir constater ce qui a été refait ou pas (mastics et autres soudures éventuellement camouflées), et de bien s'assurer qu'il n'y ait plus un poil de rouille, la peinture d'origine était du mono-composant. Or la peinture que nous allons utiliser sera du bi-composant. Les deux n'étant pas compatibles, afin d'éviter que tout cela travaille sur le plus ou moins long terme, nous devons tout décaper.
Donc récapitulons, pour février:
- je finis de démonter les éléments des portes
- le réservoir a été traité à la résine (produits Restom), entièrement décapé et traité, et anti-gravillonné!
- un ami de Nico nous sable gracieusement la calandre
- je fais thermolaquer les jantes en noir (Les laqueurs occitans, St Sulpice)
- Nico a entièrement décapé, traité et mastiqué la caisse (CHAMPIOOOON!!)
- il a traité tout le sol à l'anti-gravillon, ainsi que l'intérieur des joues d'ailes
- Il a décapé la colonne de direction
- j'ai décapé les passages de roues arrière, la traverse de chassis arrière, les lames d'amortisseur, les longerons et les bas de caisse, bref, tout ce que je pouvais atteindre avec une voiture soulevée par un cric et non pas par un pont.
- et j'ai dû en oublier
A suivre quelques photos de la vedette hors de l'atelier!
J'ai adoré cette phase de décapage à l'acier, c'est beau de voir la matière brute :)
La voiture n'a jamais été repeinte, l'orange qu'on voit c'est le primer anti-rouille d'époque.
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